Portugal Tourisme : Fuite des migrants des centres-villes
La progression du tourisme et l’embourgeoisement au Portugal font que les migrants, les sans-papiers en principe se déplacent vers les extrémités des villes. Avant la COVID-19, Lisbonne, la capitale faisait partie des cités les plus appropriées pour le tourisme. De 2005 à 2019, le nombre de touristes avait essentiellement doublé.
Généralité sur la situation
Le tourisme est l’un des domaines importants qui concourent au développement économique du Portugal. Vu son importance, il tend à négliger de plus en plus les communautés les plus démunies et les expatriées, pour qui sont réservés les emplois les moins rémunérés.
Depuis la forte arrivée des touristes, plusieurs quartiers contenant un grand nombre de constructions, ont été envahit. Les locaux réhabilités et rénovés en appartements de vacances et résidentiels pour les touristes. Cette situation pousse de nombreux habitants à opter pour des loyers à coût élevé. Alors, l’option pour la majorité des migrants a été d’aller vers les extrémités de Lisbonne. Ils rencontrent encore un gros problème, celui des papiers.
Les sans-papiers chagrinés
Le gouvernement avait décidé de façon temporaire de traiter les migrants tels des habitants résidents et vivant permanemment au Portugal. Cette action gouvernementale a été saluée, mais ne durera pas.
Les mesures prises n’ont pas été suffisamment respectées, et elles ont été moins suffisantes pour aider le Portugal et le monde qui ne trouve aucune solution à cette situation qu’est le chiffre élevé des sans-papiers. Des milliers de fonctionnaires sans-papiers se trouvent dépourvus d’aide sociale, et les dégâts de cette pandémie les touchent particulièrement.
Plan Européen pour le droit d’asile
Le Portugal se penche sur une proposition de nouvelles ententes en rapport avec ce droit d’asile. D’après le ministre portugais de l’intérieur, il va s’agir de trouver des accords et d’en finir avec les mésententes. Ce point partira donc de l’administration de l’Union Européenne, la place qu’occupe le Portugal depuis le début de l’année 2021 pour six mois de temps.